Désormais, Renotics et Décaèdre vont vous proposer des soirées à thème, pour mieux comprendre les problématiques énergétiques mondiales et locales.
Premier volet de cette série, le gaz de schistes.
Pour se mettre en douceur dans l'ambiance, nous vous invitons à voir les deux vidéos du dessous des cartes/ARTE sur la question :
- 1/2 : une énergie alternative ?
- 2/2 : une nouvelle géographie de l'énergie ?
Ensuite,l'incontournable Gasland. Ce film a été énormément critiqué par l'industrie, mais les contradicteurs ne répondent pas bien, de notre point de vue, aux questions posées. Le film se regarde très bien, et le contenu est solide.
Et si l'on veut après passer en mode cinéma, vous pouvez continuer avec le film Promised Land, avec Matt Damon. Une chose est toutefois troublante dans ce film de Gus Van Sant, ses financeurs viennent en partie d'Abou Dabi. Clairement pas des investisseurs neutres.
Excellente soirée !
Rechercher dans ce blog
dimanche 8 novembre 2015
samedi 28 mars 2015
NR-Pro lance un comparateur instantané de primes éco-énergie / certificats d'économie d'énergie pour les particuliers
NR-Pro, le célèbre site de comparaison des C2E, partenaire de Renotics, propose désormais un excellent service de comparaison des éco-primes en ligne. Simple et non intrusif (pas de demande de laisser une adresse courriel, il permet de comparer instantanément toutes les primes pouvant être obtenues sur un projet de rénovation.
La liste des opérateurs est en effet large (Auchan, Leclerc, Antargaz...), et permet de comparer les primes versées en euros et en bons d'achat.
Un site précieux à visiter en priorité avant toute rénovation !
En voici l'adresse : Simulateur NR-PRO.
Cliquez ensuite sur "c'est votre première visite/continuer".
La liste des opérateurs est en effet large (Auchan, Leclerc, Antargaz...), et permet de comparer les primes versées en euros et en bons d'achat.
Un site précieux à visiter en priorité avant toute rénovation !
En voici l'adresse : Simulateur NR-PRO.
Cliquez ensuite sur "c'est votre première visite/continuer".
Renotics intèdre Decaèdre, groupement de bureaux d'études énergétiques
A la suite de marchés remportés avec succès en groupement avec trois autres bureaux d'études, et en raison de la variété des questions énergétiques, la nécessité de polyvalence, le besoin de renforcer la puissance de traitement d'affaires, Renotics s'est associé aux bureaux d'études Aubaine, Sebat-ENR et Eco4Home pour fonder Décaèdre.
Ce groupement de bureaux d'études a choisi comme symbole le décaèdre, solide à 10 faces, exprimant tant la variété des problématiques énergétiques que notre capacité à déployer une large palette de solutions.
Hôtellerie.
III. Assistance à Maîtrise d’Ouvrage
IV. Maîtrise d’oeuvre
V. Audit bâtiment
VI. Expertises
VII. Comptage et télésuivi des installations énergétiques
VIII. Conseil aux collectivités locales
IX. Hôtellerie
X. Formation
Ce groupement de bureaux d'études a choisi comme symbole le décaèdre, solide à 10 faces, exprimant tant la variété des problématiques énergétiques que notre capacité à déployer une large palette de solutions.
Décaèdre intervient sur les marchés suivants : Copropriétés, Gestionnaires de biens immobiliers,
Promoteurs et Exploitants de bâtiments tertiaires, Bailleurs sociaux, Collectivités locales, Architectes, Hôtellerie.
Nos domaines d'intervention, au nombre de 10, sont les suivants :
I. Conception
II. Etudes énergétiquesIII. Assistance à Maîtrise d’Ouvrage
IV. Maîtrise d’oeuvre
V. Audit bâtiment
VI. Expertises
VII. Comptage et télésuivi des installations énergétiques
VIII. Conseil aux collectivités locales
IX. Hôtellerie
X. Formation
Pour prendre contact avec Décaèdre, vous pouvez contacter le 04 67 58 18 75, ou écrire à l'adresse contact#decaedre.fr (remplacer # par @).
mardi 17 mars 2015
Photovoltaïque en autoconsommation : on peut aussi le prendre en compte dans les calculs thermiques !
Que ce soit pour les opérations neuves ou en rénovation, la réglementation semblait fermée au recours à la prise en compte du photovoltaïque en autoconsommation dans les calculs thermiques réglementaires.
Afin de faire préciser les choses, Renotics a soumis deux questions sur le site rt-bâtiment.fr, le site officiel de la réglementation thermique. L'une portait sur les bâtiments neufs (RT 2012, méthode THBCE), l'autre sur les bâtiments en rénovation (RT existant, méthode THCE-ex).
Voici les éléments obtenus en retour.
Dans un cas comme dans l'autre, le photovoltaïque en autoconsommation peut donc être pris en compte dans les calculs réglementaires.
Cela ouvre des perspectives intéressantes, notamment dans les régions où l'ensoleillement permet une production d'électricité photovoltaïque dans des bonnes conditions économiques, et notamment sur l'arc méditerranéen.
Une installation photovoltaïque en autoconsommation seule peut-elle être prise en compte dans le calcul THCE-ex ?
Il semble en effet que le cas n'ait pas été prévu dans le texte de l'arrêté méthode de calcul ci-dessous :
L'installation solaire photovoltaïque est prise en compte dans le calcul du coefficient C uniquement si elle est prévue dans le permis de construire.
Elle ne couvre donc pas les installations indépendantes sur châssis (champs photovoltaïques) ou mobilier urbain en périphérie du bâtiment.
La méthode de calcul vise les installations photovoltaïques connectées à un point du réseau
électrique de distribution basse, moyenne ou haute tension, selon les termes de l’arrêté du
13 mars 2002, et fixant les conditions d'achat de l'électricité produite par les installations
utilisant l'énergie radiative du soleil telles que visées au 3° de l'article 2 du décret n°2000-1196 du 6 décembre 2000.
La méthode de calcul :
Concerne uniquement les systèmes en connexion pure. C'est-à-dire les installations dont l’objectif est de pouvoir revendre tout ou partie de sa production sur le réseau électrique.
Aucun système de stockage de l’énergie n’est donc considéré,
Ne concerne pas les installations photovoltaïques à concentration,
Ne permet pas de prise en compte spécifique pour les installations photovoltaïques hybrides,
Ne traite pas spécifiquement les couplages des systèmes photovoltaïques et des façades double peau."
Date : Wed, 25 Feb 2015 16:48:47 +0100
De : no-reply@rt-batiment.fr
Notre réponse :
Dans le cadre d’un calcul réglementaire RT2005 ou RTexistant, l’ensemble de la production photovoltaïque, qu’elle soit utilisée directement sur le site de production ou revendue sur le réseau, est intégrée au calcul de la consommation conventionnelle. Les productions gérées par un tiers sont également intégrées.
Afin de faire préciser les choses, Renotics a soumis deux questions sur le site rt-bâtiment.fr, le site officiel de la réglementation thermique. L'une portait sur les bâtiments neufs (RT 2012, méthode THBCE), l'autre sur les bâtiments en rénovation (RT existant, méthode THCE-ex).
Voici les éléments obtenus en retour.
Dans un cas comme dans l'autre, le photovoltaïque en autoconsommation peut donc être pris en compte dans les calculs réglementaires.
Cela ouvre des perspectives intéressantes, notamment dans les régions où l'ensoleillement permet une production d'électricité photovoltaïque dans des bonnes conditions économiques, et notamment sur l'arc méditerranéen.
RT 2012
Rappel de
votre question :
Nous avons un doute concernant la prise en compte du photovoltaïque en
autoconsommation dans la RT 2012.
En effet, le texte de l'arrêté méthode semble ne pas prévoir le cas :
"Un champ photovoltaïque intégré au bâtiment et connecté au réseau est
l’assemblage de deux composants :
- Ensemble de modules connectés à un même onduleur
- Onduleur
Cette fiche algorithme décrit uniquement l’objet 'un champ photovoltaïque
intégré au bâtiment et connecté au réseau'.
Une autre fiche algorithme décrit l’objet :
- Ensemble de modules qui sont connectés à un même onduleur.
Une autre fiche algorithme décrit l’objet :
- Onduleur."
Donc, est-il possible ou non de prendre en compte des panneaux photovoltaïques
en autoconsommation en RT 2012, et si oui, comment ?
Date : Wed, 11 Mar 2015 14:01:50 +0100
De : no-reply@rt-batiment.fr
Notre réponse :
Le fait que l'énergie produite soit auto-consommée ou exportée ne change rien.
L’ensemble de la production photovoltaïque, qu’elle soit utilisée directement
sur le site de production ou revendue sur le réseau, est intégrée au calcul de
la consommation conventionnelle. Elle vient en déduction de la consommation du
bâtiment.
Nous avons un doute concernant la prise en compte du photovoltaïque en autoconsommation dans la RT 2012.
En effet, le texte de l'arrêté méthode semble ne pas prévoir le cas :
"Un champ photovoltaïque intégré au bâtiment et connecté au réseau est l’assemblage de deux composants :
- Ensemble de modules connectés à un même onduleur
- Onduleur
Cette fiche algorithme décrit uniquement l’objet 'un champ photovoltaïque intégré au bâtiment et connecté au réseau'.
Une autre fiche algorithme décrit l’objet :
- Ensemble de modules qui sont connectés à un même onduleur.
Une autre fiche algorithme décrit l’objet :
- Onduleur."
Donc, est-il possible ou non de prendre en compte des panneaux photovoltaïques en autoconsommation en RT 2012, et si oui, comment ?
RT existant
Rappel de votre question :
Une installation photovoltaïque en autoconsommation seule peut-elle être prise en compte dans le calcul THCE-ex ?
Il semble en effet que le cas n'ait pas été prévu dans le texte de l'arrêté méthode de calcul ci-dessous :
L'installation solaire photovoltaïque est prise en compte dans le calcul du coefficient C uniquement si elle est prévue dans le permis de construire.
Elle ne couvre donc pas les installations indépendantes sur châssis (champs photovoltaïques) ou mobilier urbain en périphérie du bâtiment.
La méthode de calcul vise les installations photovoltaïques connectées à un point du réseau
électrique de distribution basse, moyenne ou haute tension, selon les termes de l’arrêté du
13 mars 2002, et fixant les conditions d'achat de l'électricité produite par les installations
utilisant l'énergie radiative du soleil telles que visées au 3° de l'article 2 du décret n°2000-1196 du 6 décembre 2000.
La méthode de calcul :
Concerne uniquement les systèmes en connexion pure. C'est-à-dire les installations dont l’objectif est de pouvoir revendre tout ou partie de sa production sur le réseau électrique.
Aucun système de stockage de l’énergie n’est donc considéré,
Ne concerne pas les installations photovoltaïques à concentration,
Ne permet pas de prise en compte spécifique pour les installations photovoltaïques hybrides,
Ne traite pas spécifiquement les couplages des systèmes photovoltaïques et des façades double peau."
Date : Wed, 25 Feb 2015 16:48:47 +0100
De : no-reply@rt-batiment.fr
Notre réponse :
Dans le cadre d’un calcul réglementaire RT2005 ou RTexistant, l’ensemble de la production photovoltaïque, qu’elle soit utilisée directement sur le site de production ou revendue sur le réseau, est intégrée au calcul de la consommation conventionnelle. Les productions gérées par un tiers sont également intégrées.
mardi 3 mars 2015
Renotics lance les formations gbxml !
Avec le développement de la maquette numérique (BIM), de plus en plus de bureaux d'études thermiques cherchent à développer leur efficacité. Et les éditeurs de logiciels, les uns après les autres, passent à ce format.
Après le logiciel Lesosai, c'est Pleiades-Comfie qui maintenant recourt au gbxml, suivi de Perrenoud, le leader français des logiciels de thermique du bâtiment.
Décaèdre propose désormais une formation d'une journée sur ce thème, en intra ou en inter.
Contactez-nous au 04 67 58 18 75 pour avoir les dates et les tarifs !
mardi 10 février 2015
Eco-PTZ et photovoltaïque : c'est possible !
L'éco-prêt à taux zéro existe sous trois formes :
L'éco-PTZ en performance globale est la forme qui donne le plus de souplesse. Il s'agit de calculer la performance énergétique du logement avant et après travaux.
Pour bénéficier de l'éco-prêt à taux zéro en performance globale, il faut faire réaliser des travaux permettant d'atteindre une consommation de :
A noter que ce prêt s'applique aux bâtiments construits entre 1948 et 1990.
L'intérêt de ce prêt est qu'il donne beaucoup de souplesse dans sa mise en oeuvre. Il impose certes une étude thermique réglementaire, qui peut être menée par Renotics. Mais surtout, il permet de s'affranchir des contraintes très lourdes liées aux bouquets de travaux. On peut donc recourir à des épaisseurs d'isolants ou des caractéristiques de menuiseries différentes de celles exigées pour les bouquets de travaux.
On peut aussi mettre en oeuvre des panneaux photovoltaïques. En les couplant à l'isolation des combles par exemple, l'objectif réglementaire peut être atteint facilement.
En termes d'équilibre économique, sur la maison ci-dessous, la vente d'énergie photovoltaïque rapporte chaque année 2900 €, pour un coût de l'éco-PTZ de 1900 € (prêt de 30 000 € sur 15 ans, comprenant photovoltaïque et isolation). Et ce sans même tenir compte de la réduction de dépenses amenée par l'amélioration de l'isolation.
Le gain est donc de 1000 € bruts par an sur la durée du crédit, puis de 2900 € à partir de la 16 année.
Pour l'anecdote, l'installation ci-dessus, de 6 kWc, a été réalisée sur une maison de Montpellier.
Elle comprend des panneaux haut rendement Sunpower (E 327) fabriqués en France, couplés à un onduleur SMA fabriqué en Allemagne. Soit zéro matériel chinois.
Dernier point : un éco-prêt à taux zéro de 30 000 € sur 15 ans représente un gain de 8600 € par rapport à un crédit classique à 3,5%. De quoi financer largement l'étude thermique requise !
- bouquet de travaux - 2 travaux (plafonné à 20 000 € TTC),
- bouquet de travaux - 3 travaux (plafonné à 30 000 € TTC),
- performance globale (plafonné à 30 000 € TTC),.
L'éco-PTZ en performance globale est la forme qui donne le plus de souplesse. Il s'agit de calculer la performance énergétique du logement avant et après travaux.
Pour bénéficier de l'éco-prêt à taux zéro en performance globale, il faut faire réaliser des travaux permettant d'atteindre une consommation de :
- ≤ 150 kWh/m² et par an si la consommation conventionnelle avant travaux est ≥ à 180 kWh/m² et par an ;
- ≤ 80 kWh/m² et par an si la consommation conventionnelle avant travaux est < à 180 kWh/m² et par an.
A noter que ce prêt s'applique aux bâtiments construits entre 1948 et 1990.
L'intérêt de ce prêt est qu'il donne beaucoup de souplesse dans sa mise en oeuvre. Il impose certes une étude thermique réglementaire, qui peut être menée par Renotics. Mais surtout, il permet de s'affranchir des contraintes très lourdes liées aux bouquets de travaux. On peut donc recourir à des épaisseurs d'isolants ou des caractéristiques de menuiseries différentes de celles exigées pour les bouquets de travaux.
On peut aussi mettre en oeuvre des panneaux photovoltaïques. En les couplant à l'isolation des combles par exemple, l'objectif réglementaire peut être atteint facilement.
En termes d'équilibre économique, sur la maison ci-dessous, la vente d'énergie photovoltaïque rapporte chaque année 2900 €, pour un coût de l'éco-PTZ de 1900 € (prêt de 30 000 € sur 15 ans, comprenant photovoltaïque et isolation). Et ce sans même tenir compte de la réduction de dépenses amenée par l'amélioration de l'isolation.
Le gain est donc de 1000 € bruts par an sur la durée du crédit, puis de 2900 € à partir de la 16 année.
Pour l'anecdote, l'installation ci-dessus, de 6 kWc, a été réalisée sur une maison de Montpellier.
Elle comprend des panneaux haut rendement Sunpower (E 327) fabriqués en France, couplés à un onduleur SMA fabriqué en Allemagne. Soit zéro matériel chinois.
Dernier point : un éco-prêt à taux zéro de 30 000 € sur 15 ans représente un gain de 8600 € par rapport à un crédit classique à 3,5%. De quoi financer largement l'étude thermique requise !
Inscription à :
Articles (Atom)